Réalités ABUSEURS le protecteur du citoyen dénonce Les années 1990-1999 1993-1994 les maladministrations

les accords en coulisse

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L'épisode suivant

Vers la même période, d'autres victimes de la route, ayant précédemment subi la réduction de 25 p. 100 selon le calcul initial, portèrent leur cause devant la Commission des affaires sociales. La première décision ayant été rendue, la Société procéda de manière à régler tous ces dossiers hors cour afin, comme elle l'admit elle-même2, d'éviter un nouveau débat sur le fond devant la Commission. Sans ébruiter la chose, il y eut alors des remboursements de 10, 15 et 20 p. 100, et parfois même de la totalité des 25 p. 100 retenus. Dans un cas, la Société alla jusqu'à verser des intérêts et rembourser des frais d'avocat.


En matière de capitalisation de rente,
il y eut donc différentes réponses données aux accidentés, selon le moment de leur réclamation, selon la détermination des individus et selon aussi la discrétion dont les services responsables ont tenu à entourer certaines ententes. Or, le montant d'une rente versée par la Société de l'assurance automobile ne peut, d'aucune façon, être négocié car les modalités de calcul sont prévues par la loi.

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