désistement non comprit

En 1996, Guy a un nouvel avocat, m. Yves Abran. Guy avait demandé à être entendu par la CAS car ils (les commissaires) n'avaient pas prit en compte la preuve médicale au dossier.

La commission remet en question le bien fondé de l'appel. Monsieur Abran parle alors avec Guy et le convainc qu'un désistement serait une victoire.

C'est à partir de ce moment, quand Guy me dit cela que je prend les mord aux dents (Guy ne savait pas ce qu'était un désistement) et que je décide de m'impliquer avec lui. 

Je rencontre l'avocat avec Guy, lui demande d'écrire lui aussi à la CAS pour expliquer qu'il avait confondu Guy avec son histoire de "victoire" contre la saaq en se désistant.  

voici donc le procès verbal de l'audition