Accidentés LA SAAQ et Marisol.L.G 2020 Marisol est de retour

2020 Marisol est de retour

Les accidentés comprennent ce qu'elle partage avec nous

Bonjour à tous et à toutes, 

J'ai longtemps cherché les mots pour vous expliquer ce que je vivais face à ma situation médicale et les questions juridiques

avec la SAAQ . 

Finalement, j'ai compris que pour une fois, je n'avais pas de mot pour décrire comment je me sentais perdue dans cette situation et à quel point j'étais fatiguée de me battre. 

J'ai donc, remis en question mes décisions, ma route et mes buts. 

Depuis, j'ai mis quelques dossiers sur la tablette et je continuerai ma bataille en dénonçant les actions de la SAAQ envers les accidentés de la route, les expertises douteuses, les choses que j'ai découvertes en faisant des recherches, en parlant avec des avocats, des psychologues, des médecins et d'autres accidentés de la route qui vivent  avec des séquelles permanentes plus ou moins graves, selon le cas. 

Pendant longtemps, j'ai hésité  avant de demander à Carmen Fréchette de continuer mes écrits, puisque 

J'étais si incertaine du chemin futur que j'allais suivre. 

Vous écrire était l'un de mes buts premiers et Carmen a accepté mon retour avec tous ses encouragements  et sa grande compréhension habituelle. Elle m'a accueillie les bras ouverts et a accepté de me donner encore un endroit  pour que je puisse communiquer avec vous. 

Je dois maintenant, vous aviser que mon histoire reprend aujourd'hui, dans l'état que je suis et avec mes  nouveaux choix. Je vous raconterez ce qui m'a fait réfléchir à ce que je voulais vraiment, dans ma nouvelle vie. 

Ainsi, je me suis trouvée un logement adapté à Laplaine et je dois y déménager à la fin mai. Je me suis choisie un  endroit plus paisible que Montréal, j'ai  aussi choisie la communauté à laquelle je voulais appartenir dorénavant.

Mon message restera toujours de ne pas baisser les bras, mais de choisir ses batailles. Je suis impatiente de partager avec vous, mes textes à venir et je vous souhaite à tous une bonne lecture. 

Marisol Vaut mieux rire Landry Gauvin