Accidentés accidenté: Guy Bilodeau les abus de pouvoir

cet agent rejette volontairement la preuve médical

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au dossier en inventant des motifs rocambolesques.Dans ses décisions...

pour les séquelles: 

 

    Le 5 mars 1992, l’agent C. T. rend sa décision de maintenir le refus d’atteintes permanentes sous prétexte que :

    o Aucune preuve n’a été soumise à l’appui de la demande de révision

    o Absence de signes objectifs valables


    - Pourtant, il y a les rapports des docteurs Mongeau et St-Pierre présentés le même jour, qui établissent des séquelles mais monsieur Carl tremblay les a ainsi déclarés incompétents, puisqu’il ne considère pas leurs expertises comme des preuves objectives valables!

    page 1page 2

     

 

Pour les IRR

 

 

Le 5 mars 1992, page 1 , page 2 ,  page 3,  page 4 l’agent Carl Tremblay  rend sa décision de maintenir le refus de prolonger les IRR sous prétexte que :

o La douleur seule n’est pas compensable (pourtant, dans les rapports médicaux, il n’est nulle part question de douleurs seulement puisque les douleurs sont objectivées)

o Qu’il n’y a pas d’éléments objectifs valables (examen médical clinique, radiologique, électro-diagnostique ou nucléaire) pourtant monsieur Bilodeau a eu des examens et des soins.

o Qu’il n’y a pas de signes objectifs valables. Quels sont donc les critères de signes objectifs valables pour ce monsieur?

o Silence médical pendant plusieurs mois soit entre 24 janvier et 1 mai 1991 et 1 mai et 16 octobre 1991 (c’est faux) monsieur Bilodeau avait écrit à la Société de l'assurance automobile du Québec qu’il devait attendre pour avoir son rendez-vous. et du mois de mai à octobre, monsieur Bilodeau a été vu par les docteurs Morcos et Mongeau.

L’agent rejette volontairement la preuve au dossier qui explique le supposé silence médical.

- Ce que cet homme fait dans cette décision, c’est une accusation d’incompétence pour chaque médecin qui a soigné monsieur Bilodeau depuis son accident.

Tous ces arguments sont des prétextes pour rejeter la preuve médicale au dossier de monsieur Bilodeau, en 1991, malgré le fait, comme le souligneront plus tard, le docteur Lamarre (expertise 1995) et le docteur Girard, de la SAAQ (expertise 2001), que l’imputabilité et la constance des soins vs les blessures, a toujours été là.

Cet agent a-t-il vraiment les compétences requises pour statuer sur la preuve médicale?

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