Accidentés accidenté: Guy Bilodeau Preuves absence de condition pré existante

démonstration absence condition préexistante

Accident survenu le 22 novembre 1990 Preuves de l'absence de rétrolisthésis avec discopathie dégénérative L5-S1 avant le 3 janvier 2000

 

Objet: Démontrer qu'il n'y a pas de rétrolisthésis avec discopathie dégénérative à L5-S1 tel que prétendupar le Dr St-Pierre, physiatre, lors de la première consultation en décembre 1991.

 

Démontrer qu'il n'y a jamais eu de « guérison » en mai 1992 puis de « rechute » en juillet 1992 de cette discopathie dégénérative qui n'existait pas.

 

Démontrer que les séquelles dès le début, sont liées aux hernies discales L4-L5 et L5-S1 provoquées par l'accident tel que démontrées par l'expertise du Dr André Girard (septembre 2001, expertise demandée par la SAAQ)

 

Chaque résultat des radiographies et extraits dossiers médicaux ci-dessous sont disponibles au dossier nommé « discopathie dégénérative »

 

 

Les trois opinions du Dr St-Pierre, physiatre.

 

De décembre 1991 à décembre 1992, Le Dr St-Pierre lui-même modifie son diagnostic

allant de

  • décembre 1991: discopathie dégénérative L5-S1 avec rétrolisthésis (pourtant non diagnostiqué sur la radiographie de décembre 1991 demandée par le Dr St-Pierre)

  • Le 13 janvier 1992 et le 31 juillet 1992: Le Dr St-Pierre fait des rapports du médecin à la SAAQ et il y écrit: DIM cervicale, lombaire et fibromyalgie.

  • Décembre 1992: Le Dr St-Pierre écrit « « impression » hernie discale centrale L4-L5 et L5-S1 chez un patient avec fibromyalgie »

    • Dans une lettre datée du 1997, le Dr St-Pierre, spontanémentne mentionne pas son diagnostic de discopathie dégénérative.

 

La preuve radiologique et médicale démontre que:

Avant l'opinion datée du 9 décembre 1991 Par Dr St-Pierre

 

  • Il n'y a jamais eu de rétrolisthésis avec discopathie dégénérative à L5-S1 qui aurait été objectivée dans leurs rapports avant le diagnostic du Dr Michel St-pierre

    • par les radiologistes

      • en 1987

      • novembre 1990 (urgence, jour de l'accident)

      • décembre 1990 (chiropraticien)

    • et autres spécialistes

      • Trois urgentologues (1987, 1990 et 1991)

      • un chiropraticien (1990-1991)

      • un ostéopathe (1991)

      • un chirurgien orthopédiste (1991)

       

 

  • Et même la journée de ce fameux diagnostic:

Nous avons enfin reçu (en 2009) copie de la radiographie du 9 décembre 1991. Le radiologue n'a pas inscrit avoir observé une discopathie dégénérative L5-S1.

 

 

Après l'opinion datée du 9 décembre 1991 par Dr St-Pierre

Il n'y a pas plus de discopathie dégénérative avec rétrolisthésis à L5-S1

Les radiologistes:

    • radiographie - septembre 1992

    • ct-scan - septembre 1992

    • tomographie axiale octobre 1992

    • myélographie novembre 1992

    • analyse LCR novembre 1992

    • radiographie 1996

    • scintigraphie osseuse 1996

    • analyse expertise neuroradiologue 1998

    • radiographie 1998

    • tomographie axiale 1998

    • protocole opératoire 1998

    • scintigraphie osseuse 1999

 

 

Les spécialistes – (treize)

  •   médecin de famille (à partir de 1991)
    • acupuncteur

    • physiothérapie

    • neurochirurgien (1992)

    • orthothérapeute (1993)

    • orthopédiste (expertise 1995)

    • rhumatologue (1996)

    • ostéopathe (1997)

    • neuroradiologue (expertise, 1998)

    • neurochirurgien (opération, 1998)

    • SIRF (équipe multi-disciplinaire, réadaptation (1999)

    • orthopédiste (expertise 2001, médecin de la SAAQ)

    • neurochirurgien (expertise 2002, médecin de la SAAQ)

Premier diagnostic de discopathie dégénérative L4-L5 et L5-S1

 

Le 3 janvier 2000, soit près de 2 ans après l'opération les problèmes de dégénérescences discales à L5-S1 sont objectivés pour la première fois par les médecins radiologue (IRM)Les médecins notent que cette dégénérescence est une conséquence de l'opération.

 

 

  • 18 septembre 2001 (pour la SAAQ) Le Dr André Girard, orthopédiste, indique clairement qu'il n'y a pas de condition préexistante et que l'accident est la cause des problèmes de santé, dans son expertise datée du septembre 2001

  • 12 octobre 2001 Le TAQ rend la décision qui aurait dû être rendue...

 

 

Mais il semble bien que la SAAQ ne veut pas tenir compte

      • ni de ces preuves médicales

      • ni du jugement du TAQ

 

  • 4 avril 2002Expertise par le Dr Benoit Goulet neurochirurgien demandée par la SAAQ

     

    • On constate, au point3- dossiers antérieurs

      • la SAAQ a inclus des éléments qui ont été invalidés par la décision 2001 :

        • 18 décembre 1996 décision de la CAS –condition préexistante -page 4 de l'expertise

        • 17 janvier 1997 décision de la CAS –condition préexistante -page 5 de l'expertise

        • 30 septembre 1997 expertise du Dr Marcel Carboneau –condition préexistante – page 5 de l'expertise

      • la SAAQ ne met pas la décision du TAQ datant d'octobre 2001 qui a rendu la décision qui aurait dû être rendu en 1992, 1996 et 1997.

     

  • 25 juin 2002 expertise psychiatrique par Denis Lepage demandée par la SAAQ. L'analyse et la conclusion est basée sur la fausse condition préexistante.

  • la SAAQ a inclus la décision du 13 décembre 1996, qui a été invalidés par la décision 2001

     

  • la SAAQ n'inclus pas l'expertise du Dr André Girard (septembre 2001) ni la décision du TAQ datant d'octobre 2001 qui a rendu la décision qui aurait dû être rendu en 1992, 1996 et 1997.

     

    • Ce médecin a refusé de retirer l'invention du Dr Goulet, qu'il a transcrit en page 5 (…) il y aurait même eu des problèmes dépressifs avant son accident. Ceci est faux et ne peut donc pas être objectivé. Voir la lettre du collège des médecins 21 mai 2002 et l'expertise du Dr Goulet qui avait inventé puis a retiré « dépression avant accident »

 

Cette expertise étant entièrement basée sur de faux éléments, je demande au Tribunal Administratif du Québec de la rejeter.

 

  • 18 mai 2005 expertise par le Dr Gilles Lamoureux demandée par la SAAQ

    • la saaq a omis d'inclure les preuves médicales et décision du TAQ de 1998 à 2003 (donc tout ce qui prouve qu'il n'y a pas de discopathie dégénérative avant accident) .

    • MAIS la SAAQ a mis le faux diagnostic de St-pierre et la décision du CAS basé sur faux diagnostic.

     

    • L'aggravation notée par le Dr Lamoureux n'a pas été indemnisée par la SAAQ qui pourtant, prétend dans son « règlement sur l'indemnité forfaitaire » disponible sur son site internet

 

 

Il peut arriver, dans certains cas, que la condition d’une

personne accidentée s’aggrave à long terme. À la

Société de l’assurance automobile du Québec, le

dossier d’une personne accidentée demeure ouvert à

vie. Dans le cas d’une aggravation, nous effectuons

une réévaluation du dossier. Lorsque l’aggravation est

suffisamment importante pour correspondre à une

classe de gravité supérieure à celle qui avait déjà été

évaluée, le calcul de l’effet combiné de toutes les

séquelles est repris et l’indemnité est ajustée en tenant

compte du montant initialement versé.

 

Respectueusement, je demande aux juges du tribunal administratif du Québec,

 

  • d'indiquer clairement que cette prétendu condition préexistante de rétrolisthésis avec discopathie dégénérative à L5-S1 est une erreur de diagnostic comme le démontre la preuve médicale.

     

  • D'ORDONNER à la SAAQ de détruire toute information, mention ou référence de condition préexistante de rétrolisthésis avec discopathie dégénérative à L5-S1 dans tous les documents fabriqués par la saaq: panoramas informatique, décision, et/ou autre inscription à mon dossier afin que les erreurs cessent enfin.

     

  • D'ORDONNER À la SAAQ de corriger les expertises altérées par ces faux renseignements (condition préexistante de rétrolisthésis avec discopathie dégénérative à L5-S1)

 

  • DE REJETTER l'expertise du Dr Denis Lepage, psychiatre, datée du 25 juin 2002, car son analyse et sa conclusion sont basées sur de faux renseignements.

     

  • D'ORDONNER À LA SAAQ de faire refaire l'expertise psychiatrique, avec TOUTES les vrais informations médicales.

     

  • De reconnaître la discopathie dégénérative L4-L5 et L5-S1 comme conséquence de l'opération de 1998 et donc, une séquelle de l'accident – reconnue par la SAAQ (expertise) et le jugement du TAQ en 2001

     

  • D'ORDONNER à la SAAQ d'indemniser cette discopathie comme séquelle découlant de l'accident.

 

Guy Bilodeau

 

Veuillez prendre note que j'autorise ma conjointe à communiquer en mon nom quand je suis dans l'impossibilité de le faire ou que j'ai besoin de son assistance.