Accidentés LA SAAQ et Marisol.L.G Marisol en 2018-2019

1.1.2 DÉNONCER

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Je remercie Madame Carmen Fréchette de m’offrir ce petit coin afin de pouvoir faire ce que personne d’autre n’a fait auparavant. En effet, après 5 ans de bataille, je m’apprête à vous présenter les preuves dans mon dossier. Je m’apprête aussi à vous fournir les preuves que la SAAQ utilise des moyens illégaux, des mensonges, de l’intimidations, des techniques pour anéantir la personne accidentée. Moi, j’ai décidé d’enregistrer les appels et les rencontres avec les agents, les superviseurs, les gouvernements, les ministres à qui j’ai demandé de l’aide, les experts de la SAAQ, etc. Je me suis battue si fort qu’aujourd’hui, je n’ai plus de force, mais j’ai la force de dénoncer. Mon agresseur: La SAAQ ! Mon gouvernement, m’a mise à la rue, m’a démolie, m’a humiliée, m’a enfermée durant des heures dans une pièces à me menacer et m’intimider refusant même que je puisse aller à la salle de bain, me proposant de me soulager sur leur siège, durant une rencontre, plutôt que de me laisser aller aux toilettes. J’ai dû aller aux toilette la porte ouverte devant l’agente. Si ça ce n’est pas de l’intimidation, qu’est-ce que c’est !?

 

Je vous invite donc à suivre mon histoire que je reprendrai du début, de ma relations avec les premiers agents, jusqu’à ce que ça se complique. Évidemment, les complications arrivent lorsque la SAAQ se rend compte que vous êtes invalide partiellement, ou entièrement. Dans mon cas, c’est entièrement ! Je n’arrive pas à m’habiller seule, manger seule, me laver, me lever, me coucher, sortir de chez moi, aller à mes rendez-vous, marcher, m’organiser, faire mon ménage. J’ai besoin d’être accompagnée dans tout ce que je fais, à tout moments de la journée. Ma vie est bien loin de celle dont je jouissais avant. Mes capacités ne sont plus. Je ne suis plus que l’ombre de moi-même.

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