Accidentés accidenté: Guy Bilodeau les abus de pouvoir

Invention d'un silence médicale

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En fait, l'agent a décidé de ne pas tenir compte de ce qu'avait écrit monsieur Bilodeau, et, en plus, de ne pas tenir compte de rendez-vous médicale!

     Invention, de la part de l'agent de révision, d'un "silence médical" (durée de onze mois) qui justifie, selon lui, un non séquelles à l'accident. Il le divise en deux, de janvier à mai puis de mai à octobre. C'est complètement faux, mais les autres agents de la SAAQ et les commissaires du CAS, reprendrons allègrement ce mensonge.

    Ce fameux silence médical était en fait une période (janvier à mai) où monsieur Bilodeau devait attendre de voir un spécialiste.

    La SAAQ le savait car monsieur Bilodeau l'avait écrit, le 15 mars 1991.

    La SAAQ a donc choisi délibérément, de ne pas tenir compte du fait que monsieur Bilodeau les avait averti, et donc, de mentir.

    Tant qu'à l'autre supposée période, de mai à octobre, l'agent a "oublié" de regarder le dossier médical puisque monsieur Bilodeau a été soigné par les docteurs Morcos, orthopédiste, Mongeau, ostéopathe, durant cette période.

    Pour nous, c’est une preuve de plus de la malveillance et de la négligence de la Société de l'assurance automobile du Québec, qui ne prend que ce qui lui plaît dans la preuve au dossier.

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