Les chercheurs ont établi les quatre caractéristique d’une situation stressante:

La nouveauté :

L'accident en lui même est une nouveauté, puis les blessures et le fait de devenir subitement inapte aux activités habituelle, et la douleur, et l'inquiétude et l'angoisse face à l'avenir, etc...

l’imprévisibilité:

Ici, c'est la "méthode" du "finalement, vous n'avez rien" de la SAAQ que je dénonce. Beaucoup d'accidenté(es) vivent cela. Ils se font dire, par des médecins qui ont été fortement guidés par des fonctionnaires, que leurs blessures sont "consolidées" Cette imprévisibilité déstabilisecomplètement l'accidenté(es), dont les médecins traitant ont pourtant reconnu les séquelles, à qui on ajoute ce fardeau de se défendre contre des inventions et ou des omissions, en plus de vivre avec des séquelles de l'accident.

l’impression de ne pas avoir la maîtrise de la situation:

Et j'ai bien peur que ce ne soit pas qu'une impression. L'accidenté(e) est dépendant d'une assurance gouvernemental qui ne veut pas l'indemniser. L'accidenté(e) est seul, la SAAQ elle a une armée de fonctionnaires (avocats, médecins, spécialistes de toute sortes) avec elle; effectivement, l'accidenté(e) n'a malheureusement aucun contrôle sur sa situation.... Cela doit changer.

le fait de se sentir menacé.

Et oui, personnellement j'estime que les agissements de la SAAQ sont des menaces directe aux accidenté(es).